CCs12 relève le défi de la Commission européenne

Waiving flags in front of European Parliament building. Brussels

Avec sa nouvelle carte PHANTOM, CCs12 offre à l’Europe une nouvelle carte de paiement 100% sécurisée. En occultant certaines données sécuritaires, elle est l’avenir des transactions sur le net et devient le cauchemar des cybercriminels.

Depuis des mois, les banques transpirent face à l’ultimatum du 14 septembre prochain déclenché par la Commission européenne. Les matières grises, elles, s’activent pour tenter de trouver une solution de remplacement au SMS-OTP qui vit ses dernières heures parce que jugé trop peu sécurisé.

Avec 8 Français sur 10 qui utilisent directement leur carte bancaire pour réaliser un achat sur le net, la question de la cybercriminalité est plus que d’actualité. Si la fraude à la carte bancaire en ligne représente 0.161% du montant total dépensé sur internet, soit 1 euro de fraude pour 620 euros de paiement, selon le rapport annuel de l’Observatoire de la sécurité des moyens de paiement, il n’empêche que cela a représenté en 2016, 21 milliards de dollars dont 800 millions d’euros en France ! Autant d’argent parti en fumée pour les banques qui auraient pu allouer cette enveloppe fraude à d’autres fins utiles.

Mais alors que dit la Commission européenne ? Cette directive entrée en vigueur le 13 janvier dernier insiste pour que les banques se plient à trois exigences. A savoir LA CONNAISSANCE, qui consiste à demander une information que seul le propriétaire et/ou utilisateur de la carte connaît. LA POSSESSION, qui comme son nom l’indique implique de donner quelque chose que lui seul possède et enfin L’INHERENCE qui se traduit par un trait physique de ce-dernier. Sachant qu’il suffira que deux de ces points soient officiellement vérifiés et indépendants pour que l’identité soit prouvée et donc l’achat conclu officiellement, CCs12 répond immanquablement à deux des exigences sur la reconnaissance du client. La reconnaissance faciale et/ou l’empreinte digitale qui commence à faire son apparition est déjà un cheval de bataille des cybercriminels qui planchent tout autant sur le sujet !

CCs12 choisit de masquer la 2e ou 3e série de 4 chiffres sur les 16 que contient une carte de paiement en les remplaçant soit par des tirets, des croix ou une grille de chiffres appelée grille de Cardan. Le propriétaire sera alors lui seul en mesure de donner ses 4 chiffres appris ou révélés par un cache.

CCs12 choisit encore de masquer le nom ou le prénom du titulaire de la carte, là encore seul son propriétaire sera en mesure de fournir ces éléments.

Enfin CCs12 masque le cryptogramme ! C’est une certitude, en cas de vol ou de perte, cette carte pourra être détruite parce qu’inutilisable par la personne mal intentionnée.

Et parce que CCs12 va encore plus loin, elle rajoute en haut à gauche du verso de la carte le numéro de CNI qui permettra à un marchand de s’assurer un contrôle du détenteur de la carte via son numéro de carte d’identité.

UN TRYPTIQUE SECURITAIRE

La carte PHANTOM de CCs12 tout en masquant des données certifie un système d’authentification tout en réduisant la fraude. Elle rêve de la réduire à néant en convaincant les députés de voter une loi interdisant le stockage des données sécuritaires.

Jusqu’à présent seules les banques et les commerçants et/ou e-commerçants étaient acteurs dans cette lutte cybercriminelle, CCs12 crée le tryptique sécuritaire en invitant le consommateur à être acteur de sa sécurité. CCs12 ne chamboule pas pour autant l’écosystème puisque les standards définis demeurent. Le coût d’une telle carte ne sera pas plus élevé qu’une autre voire inférieur, le processus d’achat sera de même durée puisque l’on ne change rien à la technicité de la carte.

La carte PHANTOM de CCs12 serait-elle en passe de devenir le virus à abattre pour les cybercriminels ? La Commission européenne qui pourrait bien se pencher sur le sujet a désormais matière à réfléchir.

 

CCs12 : contact@creditcardsecured12.com