La carte Phantom de CCs12 devient le sas de sécurité des banques

L’éte sera chaud pour les banques qui n’ont pas encore répondu à la Directive sur les paiements N°2, plus connue sous le nom de DSP2 ! En septembre 2019, plus précisément le 14 septembre, les banques auront dû trouver une authentification forte du client pour la consultation des comptes et opérations bancaires afin de mieux protéger les clients dans un contexte de cyber criminalité accrue, où les fraudes et usurpations d’identité de toutes sortes se multiplient.

Depuis son entrée en vigueur le 13 janvier 2018, la DSP2 a permis de favoriser l’innovation, la concurrence et l’efficience du marché. La start-up marseillaise CCs12, loin de se substituer aux banques dans la recherche d’une authentification forte, se place pourtant comme une pièce maîtresse dans cette lutte. Mieux encore, elle offre à toutes les banques un  SAS de sécurité !

Si la DSP2 demande à ce que l’authentification forte soit la combinaison de deux éléments d’authentification indépendants l’un de l’autre parmi trois catégories, à savoir la possession (telles qu’un mobile, une carte SIM…) , la connaissance (telle qu’un mot de passe, date de naissance, nom d’un parent…)  et l’inhérence (comme la biométrie, reconnaissance faciale, vocale, empreintes…), la carte Phantom, elle, certifie que le détenteur de la carte est bien la personne qui réalise un achat de l’autre côté de la toile. Reconnue pour éradiquer le vol à la tire, ou bien encore rendue inutilisable en cas de perte, Phantom se positionne désormais comme le moyen de paiement incontournable et 100% sécuritaire prêt à conquérir la planète.

Les Américains ne s’y sont pas trompés et étudient de très près la possibilité d’adopter la carte Phantom comme un bouclier dans toutes leurs transactions bancaires.  Tout le monde s’accorde à dire qu’aujourd’hui le consommateur et détenteur d’une carte de paiement doit s’impliquer dans cette lutte. C’est pour cela que CCs12 a créé le triptyque sécuritaire banque-(e)commerçant-(e)consommateur. En cachant des données sécuritaires que seul le détenteur de la carte connaît, Phantom rassure le (e)commerçant et assure aux banques une transaction entièrement sécurisée.

Berceau de cette innovation, la France n’est pas en reste.  Une proposition de loi, émanant d’une députée européenne et  visant à interdire le stockage des données sécuritaires est actuellement à l’étude. L’abrogation d’une telle loi rendrait, sans nul doute, Phantom, la carte la plus sûre au monde.

Affaire à suivre …